Ce que pourrait être la problématique de notre dossier sur l’eau dans le numéro d’octobre
L’eau est un bien commun indispensable à la vie, son usage nous regarde tous. Chaque personne a besoin chaque jour de 20 à 50 litres d’eau.
Le rapport du GIEC paru en mars 2023, démontre encore que les émissions de gaz à effet de serre menacent la production alimentaire, l’approvisionnement en eau, la santé humaine, les économies nationales et la survie d’une grande partie du monde naturel. Mais pour la première fois, les scientifiques insistent sur les solutions. Il est encore temps d’agir. Avec les bassines, “la problématique c’est l’accaparement de l’eau, le pillage des nappes phréatiques au profit de l’agro-industrie, de cette agriculture mortifère qui a complètement défiguré notre territoire depuis plus de 50 ans”, déclare sur BFMTV Julien Le Guet, porte-parole du collectif « Bassines non merci ».
L’accaparement de l’eau c’est aussi celui des multinationales de l’eau.
La raréfaction de l’eau est l’un des problèmes majeurs du monde d’aujourd’hui. À cause notamment de la pollution, du changement climatique et de la mauvaise utilisation des ressources, provoquées par un pillage effréné de la nature par le capital une grande partie de la planète manque d’eau, un bien pourtant indispensable à la vie. La pénurie d’eau touche actuellement près de 700 millions de personnes dans 43 pays. En 2025, 1,8 milliard de personnes vivront dans des pays ou régions touchés par une pénurie d’eau complète et les deux tiers de la population mondiale pourrait vivre dans des conditions de stress hydrique. 2/3 des guerres ont pour causes au moins partielles l’accès à l’eau. Notre pays connaît une sécheresse sans précédent. Avec le réchauffement climatique, ces épisodes sont amenés à se multiplier, menaçant la ressource en eau sur nos territoires.
En même temps l’eau est un lien entre les habitant·e·s d’un territoire et implique de la solidarité entre toutes et tous.
IL apparait qu’il n’y a pas d’issue sans dégager l’eau de la loi du marché. L’eau ? mais pas seulement : la perforation de la croûte glaciaire pour chercher du pétrole a des conséquences désastreuses au sens le plus fort de ce terme En quoi les plans du gouvernement et de l’ensemble des collectivités sont-ils insuffisants voir générateurs de conflits et d’inégalités pour répondre à l’enjeu du réchauffement climatique et de la raréfaction de l’eau ?
Des choix dans la gestion de l’eau sont nécessaires, des consensus doivent se construire. Comment informer et associer les citoyens dans les prises de décisions ?
Des alternatives concrètes existent, des citoyens et des mouvements portent des projets depuis de nombreuses années. Comment développer le pouvoir faire de toutes et tous ?
Quelles régulations et rapports de force peut-on initier au plan mondial ?
Conflit israélo-palestinien, enjeux de l’eau Mohamed Mousa, maire à ( Patrick)
Bassines et agences de l’eau, Daniel
No Basaran (Daniel)
Agriculture (Confédération paysanne) (Daniel)
Eaux et rivières Bretagne (Sylvie)
Agriculture et eau, Marc Dufumier (Daniel)
SPL Rennes, Sylvie
Eau et territoires, Makan
Eau et territoires Bénédicte Monville ( Patrick)
La Seine n’est pas à vendre (Makan)
Géopolitique de l’eau David Blanchon (et Franck Galland?) (Makan)
Discours des écolos, et d’autres ? … Bénédicte (Sylvie)
Enjeux mondiaux, Patrick
Distribution d’eau salée en Uruguay, Nara (Sylvie)
Festival de l’eau, Jacques Perreux (Daniel)
Eau et littoral, Serge Desseine ( Patrick)
Barrages Olivier et Makan
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