Notes d'actu.

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Vaccin : quand on fait les choses à moitié.

Je ne suis pas anti-vax. Mais…

On apprend lors d’une audition de la direction de Pfizer devant une commission européenne que les vaccins n’ont pas été testés avant d’être « sur le marché » (expression qui en dit long) ; on apprend par ailleurs que l’organisme de plusieurs milliers de vaccinés n’a pas supporté le produit.

Faute d’organiser systématiquement des analyses avant l’injection de la dose pour connaître le niveau d’anticorps déjà acquis, des patient·e·s se sont trouvé·e.s. avec trop d’anticorps. On pourrait penser que l’on n’est jamais trop protégé·e. Eh bien si ! Ce surplus d’anticorps peut provoquer des réactions auto immunes. Ils se nourrissent des gaines des nerfs qui irriguent les membres. Résultat : des cas plus ou moins longs de paralysie des bras, ou des jambes, ou des deux, plus ou moins intenses parfois allant jusqu’à une hospitalisation. Puis des fourmillements dans ces membres. Ajoutons-y parfois une difficulté à se nourrir ; le tout accompagné d’un affaiblissement profond qui peut durer plusieurs mois. Cela porte un nom : le syndrome de Guillain Barré. Pour l’instant le remède le plus préconisé est… la patience. On fait avec.

Cela parce qu’on ne prend ni le temps ni l’argent pour faire les analyses nécessaires avant chaque vaccination.

Pierre Zarka

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