politique

Légitimité 

La conception macroniste de la représentativité – qui semble légitimer toute décision, quelle qu’elle soit, au prétexte que le vote « a parlé » – pose la question du sens du terme « légitime ». Le Robert pose trois définitions :  Reconnu conforme au droit.  Reconnu conforme à l’équité.  Qui est justifié par le bon droit, la raison, le bon […]

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Comment investir le champ des solutions ?

Joëlle pose les pierres fondamentales de la construction d’une alternative éclairant ce qu’il faut dépasser, suggérant ce qu’il faut construire« Il y a des prises de conscience mais demeure la fatalité quant à un changement global. Faire pression sur le pouvoir, qu’il ait peur et pour cela il faut qu’il y ait un projet politique

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Il faudra inventer 

Avant toute chose permettez-moi de couper court  à l’idée que les Français semblent indifférents à la situation politique. Au contraire les mouvements sociaux depuis les gilets jaunes et déjà avant démontrent une attention, une sensibilité aux évènements politiques qui se succèdent. Notre peuple est un peuple politisé. Il se passionne, il discute, il se dispute

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Révolution conservatrice

E Macron n’a pas procédé à un simple remaniement ministériel. Il a opéré un tournant politique. « Je ne veux pas de gestionnaires, je veux des révolutionnaires ». Entendez : je veux plus de radicalité et d’audace dans ma révolution conservatrice. Après la loi immigration qui rompt avec nos principes constitutionnels d’égalité des droits, des ministres ont

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La politique, l’affaire de toutes et de tous, mais comment ?

Nous sommes confronté·e·s à un écart croissant entre vie politique instituée et une part grandissante d’hommes et de femmes ? Passivité ? Ou au contraire, une perte de confiance dans un système clos confiscatoire ? Les tendances électorales qui sont lourdes de conséquences sont-elles le reflet de la réalité ? Des colères et mouvements profonds

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Le choix d’un parti-mouvement

En hausse constante dans les milieux populaires, chez les femmes et les jeunes, l’abstention électorale autrefois synonyme de dépolitisation est devenue un rejet du système et des partis politiques. Elle est le signe majeur de la crise de la politique et de sa représentation. Le vote devient le fait des élites, des couches moyennes supérieures,

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L’avenir est en bas à gauche !

« La gauche » traverse une crise historique à peu près partout où le régime politique permet de parler de gauche et de droite.  Cette crise prend dans chaque pays des formes spécifiques mais renvoie à deux séries de causes. Sur le plan idéologique, le double échec de la gauche du 20ème siècle, communiste et social-démocrate, à réaliser

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Pour faire de la politique : le syndicalisme

Si la politique est l’affaire de toutes et tous, on ne peut que constater qu’elle semble de moins en moins investie par celles et ceux qui font tourner la société par leur travail. Ouvriers et ouvrières dans la production ou la logistique, employés-es des administrations, de la sécurité sociale et des entreprises, personnels des établissements

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les enjeux du travail et de sa représentation

Quand naissent partis et syndicats, la période est dominée par les logiques délégataires. Un triptyque régit alors l’organisation sociale. Au sommet, l’État est censé incarner l’intérêt général. Les partis ont la charge de la médiation entre la société et l’État. Se substituant à l’ancienne médiation des notables ils participent à la politisation populaire. Les associations

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Peuple(s) et classes

Depuis 1848, c’est un lieu commun du marxisme de soutenir que la notion de peuple est idéologiquement confuse. Le coup d’État de Louis-Napoléon apprend que la politique est lutte de classes et que le prolétariat se doit d’agir de façon autonome, en se dotant d’organisations indépendantes en vue d’une rupture d’avec le capitalisme. Reste à

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