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Journal de FÉVRIER



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1 réflexion sur “Journal de FÉVRIER”

  1. Pour différencier l’ “abstention” du citoyen dépolitisé de jadis, de celui d’aujourd’hui, je préfère le terme de “non-vote” qui signifie insatisfaction du mode de représentation partidaire qu’impose la Constitution de 1958. Cette distinction signifie que les “non votants” sont susceptibles de soutenir un projet, une réforme ( refus de la retraite, pouvoir d’achat) et ceux qui en sont les porteurs SOUS contrôle des citoyens. De quelle manière assurer ce contrôle des commis par les commettants? Le terrain , le terrain, vous dis-je aurait dit Molière. Le concept de Parti, comme le dit très justement Delle Suda, implique / choix sociétal global / et discipline indispensable comme le suggère l’étymologie du mot : militant. Electeur ne signifie ni accord global (erreur politique majeure) ni engagement. Il ne s’agit que d’un simple accord sur l’engagement pris par le commis. A charge pour le militant de faire progresser LE choix social du moment Retraite , pouvoir d’achat) vers un un choix sociétal. Le simple participation électorale devenant, outre l’ approbation, une écoute possible, un débat indispensable, pour avancer vers un choix global.
    La question du Pouvoir d’Etat peut alors reprendre alors sa place: un outil politique au service non une fin en-soi. Ce qu’il est aujourd’hui, au point de séparer “la politique” ( pouvoir en-soi, à, la solde de quelques uns) du social au service de tous, du plus grand nombre et à son pas.
    Se profile alors LA question df el(‘autogestion…dont la forme, ou les formes, sont à innover au sein d’un monde capitaliste qui ne se laissera faire. Retour au régalien.

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