Et la mer pour demeure
L’écriture poétique de Chantal T. Spitz ni tiède, ni objective, guerroie contre la dévastation coloniale et la brutalité domestique. Dans cette langue polynésienne, fondamentalement pénétrée d’oralité, audible à toute oreille francophone, elle offre à lire sept nouvelles. Elle y fait entendre l’oralité poétique et populaire polynésienne. Cette langue née de la colonialité est, sous sa […]
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